L’eau notre patrimoine vivant – Rencontre en bords de Drôme le 16 septembre

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Samedi 16 septembre de 15h à 18h, venez découvrir les multiples enjeux de l’eau, notre patrimoine vivant, à Crest et dans la vallée de la Drôme : état des ressources en eau, gestion publique et privée et tarification de l’eau potable, comment donner un statut juridique à une rivière… Une rencontre interactive en bord de Drôme avec des mini-conférences, des témoignages d’autres communes, des ateliers ludiques. Un espace d’accueil familles & enfants sera proposé alors… Venez en famille !

L’après-midi se déroulera sous forme de world café : vous pourrez choisir les thèmes qui vous intéressent et déambuler d’atelier en atelier pour des présentations d’une durée de 30 minutes chacune.

Lieu : CREST – sous le pont Mistral rive gauche. (Repli en cas de pluie : Espace Soubeyran – salle Coloriage)

Accès  : En vélo : piste cyclable (vélodrôme) à proximité. En transports en commun : gare de Crest (train) ou arrêt Pont Mistral (bus). En voiture : parking du Champ de Mars à 50m.

Evénement gratuit organisé par l’association Rebond

Soutenons Le Crestois…

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Le Crestois,
l’hebdo de la vallée de la Drôme

Soutenez Le Crestois, l’hebdomadaire historique de la vallée de la Drôme, et déduisez 66 % du montant investi de vos impôts !
Pour éviter la fermeture définitive du journal, des salarié(e)s du Crestois ont créé une SCOP et lancent un appel aux dons. Leur ambition : éviter la liquidation pure et simple et, surtout, poursuivre l’aventure de cet étonnant journal, local et indépendant.
Comme vous le savez peut-être, Le Crestois, l’hebdomadaire historique de la vallée de la Drôme, est à la croisée des chemins. L’avenir de cette entreprise de presse fondée il y a 123 ans est aujourd’hui suspendu à la décision du tribunal de commerce de Romans-sur-Isère. Et il se peut que, dès le mois d’avril, la publication du journal cesse définitivement. Pour empêcher ce scénario catastrophe, des salarié(e)s du Crestois viennent de constituer une SCOP, une Société coopérative de production, qui a pour mission, d’abord, de racheter le journal devant le tribunal et, ensuite, de continuer à le faire vivre pour les siècles des siècles…
C’est dans ce contexte que nous avons aujourd’hui besoin de votre soutien.
Après avoir bâti un nouveau modèle économique basé sur le développement de l’offre numérique du Crestois et l’externalisation de l’impression du journal, les porteurs du projet sont parvenus à mobiliser plusieurs leviers de financement importants : un apport personnel des quatre salariés-sociétaires (17000 euros) ; un emprunt bancaire (avec le Crédit coopératif) ; une garantie d’emprunt (avec l’Union régionale des SCOP). En outre, le Fonds pour une presse libre (FPL), organisme à but non lucratif ayant pour objet de défendre la liberté de l’information, le pluralisme de la presse et l’indépendance du journalisme, soutient également le projet de reprise du Crestois : il sera sociétaire de la SCOP, aux côtés des salariés.
Les porteurs du projet ont aussi mobilisé un dispositif de financement propre aux entreprises coopératives : l’émission de « titres participatifs ». Pour faire simple, il s’agit d’un emprunt que la SCOP va contracter auprès de particuliers (personnes physiques ou morales)*.
Il s’agit maintenant pour la SCOP de mobiliser encore plus largement à d’appeler à tous les soutiens possibles, petits ou grands, sous la forme de dons. Cette campagne s’inscrit dans le cadre de l’association J’aime l’info, qui a pour objet le soutien au pluralisme de l’information et la défense d’une presse indépendante et de qualité. Votre don contribuera directement à l’indépendance du Crestois. Il est défiscalisé (vous pourrez déduire 66% du montant du don de vos impôts).

La SCOP du Crestois
FOIRE AUX QUESTIONS
    • De l’argent pour quoi faire ?
Pour permettre le rachat du journal par la SCOP devant le tribunal de commerce, courant avril, et pour ensuite financer la relance de la publication.
    • Et après ?
Une fois la reprise acceptée, Le Crestois reprendra ses publications papier et numérique (sur le-crestois.fr). Une équipe de sept personnes, composée de six anciens salarié(e)s et d’une nouvelle recrue (pour 5,8 ETP), assurera l’édition du Crestois et sa publication tous les vendredis.
    • Et l’imprimerie ?
Le destin de l’imprimerie est entre les mains du tribunal de commerce. La SCOP ne parviendra pas à réunir les fonds nécessaires à son rachat, à l’entretien de ses machines et aux lourds investissements indispensables pour ce type d’activité. Ce pourrait donc être la fin de l’Imprimerie du Crestois, à moins qu’un scénario de redressement ne soit trouvé ou qu’une offre de rachat soit proposée.
    • Pour faire quel journal ?
Nous n’avons pas l’intention de réinventer Le Crestois. Il s’agit pour nous de poursuivre l’œuvre de nos prédécesseurs : Joseph « Salem » Bruyère, Claude Pluvy, Claudette et Michel Bourde, Claude Bourde, puis Jean-Baptiste Bourde – qui sera de l’aventure. Notre objectif : continuer à vous raconter chaque semaine la vie de la vallée, en toute liberté, en toute indépendance, avec rigueur, et si possible avec un peu d’humour et de chaleur humaine !
    • Pourquoi ça marcherait ?
Parce que c’est possible ! Le journal Le Crestois n’est pas en mauvaise santé. Il dispose de solides assises : abonnements, ventes au numéro, publicité et annonces légales lui assurent une base économique saine, qu’il nous faudra toutefois consolider. Nos objectifs pour 2025 : 1200 abonnés au journal papier (soit 200 nouveaux abonnés) et 450 abonnés numériques (soit 250 nouveaux abonnés).

* Pour plus d’informations *
Laure-Meriem Rouvier : laure-meriem@le-crestois.fr / 06 48 75 64 48
Clément Chassot : clement@le-crestois.fr / 06 70 85 58 94
Martin Chouraqui : martin@le-crestois.fr / 06 30 55 95 55